Je ne voulais pas t'abandonner — Clary

Il avait vu la mort l’emporter, et finalement il c’était réveillé dans un lit d’hôpital. Ce jour là il était parti pour tuer et pour mourir, il avait tué, mais la mort ne l’avait pas emporté. Phillips avait dormi pendant des mois, plonger dans un coma profond je n’avais pas pus relater sa vie. Je m’étais moi-même assoupie durant tout ses moi. Son cerveau c’était endormit, me poussant au silence, il n’avait fait que rêver à sa sœur et sa nièce, il c’était imaginé une famille heureuse, et à son réveil toute ses illusions c’étaient envolé. J’avais repris place pour voir son âme se décomposer. Il était plus morne et triste que jamais. Sa vie n’avait plus de sens, sa vengeance accomplit. La dépression l’avait rapidement gagné, lui qui avait toujours été un homme gai, toujours de bonne humeur, cette part de lui c’était endormit. Plus aucun enthousiasme ne perçait dans ses yeux.

Il avait été interné, les médecins pendant qu’il avait besoin de solitude et de soutient médical. Mais un jour Phillips en eut assez déclarant qu’il allait partir pour reprendre sa vie, c’est ce qu’avait attendu les médecins, qu’il décide de reprendre les choses en main. Sa psy, Julie Jenkins s’empressa de signer les papiers et lui demanda de faire une demande pour être attribué à un nouveau moroï. Alexander Badica était reparti à la cour et Julie avait estimé qu’il n’était pas prêt à retrouver cette ambiance, qu’il lui fallait veiller sur une personne sans grand intérêt, pas son meilleur ami et ex amant de sa défunte sœur.

Phillips n’avait déposé aucune demande d’affectation, il savait parfaitement sur qui il devait veiller aujourd’hui, une jeune fille qu’il avait un jour rencontrée dans la rue, une alchimiste qui avait volé trop prêt des strigoïs. Elle avait besoin d’être protégé et j’étais suffisamment riche pour ne pas me préoccuper d’avoir un salaire. Il ne savait certes pas si elle avait encore besoin de protection, mais elle était sa priorité, si elle devait être protégé, il le ferait, il avait besoin d’un nouveau but et il pensait que sa survit à elle en était un bon.

Pendant plus d’un mois il avait mené des recherches pour la retrouver, pour finir par trouver l’adresse d’un petit appartement dans le centre. J’avais été heureuse de savoir qu’il allait pouvoir recommencer à vivre, Phillips vivait pour les autres, et s’il n’avait personne à qui prendre soin, il ne vivait pas. Il avait déjà tellement perdu ses derniers mois que s’il ne proposait pas ses services à Clary il n’arriverait pas à avancer et Julie serait contrainte de le faire interné de nouveau avant qu’il ne sombre à nouveau dans la dépression.

Il c’était longuement demandé comment l’aborder. Elle et lui n’avait pas eu le temps de devenir très proche, même s’il c’était attaché à cette petite fille fragile. Il avait, dès le premier regard, désirer la protéger de tout ceux qui en avait après elle. Elle lui avait rappeler Aurora, mais en plus fragile, renforçant son besoin de l’emmener loin de tout ça. Il se battrait pour elle, il donnerait sa vie pour elle. Protéger était sa raison d’être, sans ça, il n’était pas lui.

Quand il arriva devant la porte de l’appartement, je ne pus m’empêcher de rire, lui le grand séducteur avait le trac de parler à une jeune fille qui ne lui inspirait aucun sentiment amoureux. Juste une sorte de paternité par procuration comme avait été pendant de nombreuses années sa relation avec sa nièce. Il frappa, attendant qu’elle vienne ouvrir, espérant presque qu’elle ne soit pas là, mais elle finit par ouvrir et il lui offrit le sourire le plus timide de son existence.

❝ Bonjour Clary. ❞