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 Nicola

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AuteurMessage
Invité
Invité
MessageSujet: Nicola   Nicola I_icon_minitimeLun 6 Mar - 23:35


Nicola Finch
Feat. Jake Gyllenhaal

175*280
Date de naissance
: 10 mai
Lieu de naissance :
Italie
Age :
36 ans
Statut :
Célibataire
Groupe désiré :
Alchimiste


Histoire


Nous ne naissons pas, alchimiste. Nous naissons humain, comme n'importe qui. Être alchimiste, c'est une passion, c'est une envie, c'est un désire de rendre ce monde meilleur. De père en fils. De mère en fille. En temps normal, nous passons notre enfance dans l'ignorance, et ce n'est qu'à l'arrivée, d'une prise de conscience, que nous découvrons notre destin, que nous passons tests, et examen, pour s'assurer que nous sommes aptes à appartenir à cette famille. Pour moi, le rituel a été différents. Nous avons tous, ce choix. Suivre cette trace, imposé par nos parents, ou choisir un chemin autre.. Mais dans une famille comme la nôtre, choisir un chemin qui n'impose pas, une vie loyale, à cette famille d'alchimiste, c'est être un traître. Je n'ai de toute façon, pas eu ce choix. Ma sœur non plus. Voyez-vous, appartenir à la famille Finch, ce n'est pas rien. Petit fils de Marcus Finch, c'est une grosse dose de pression, sur ces épaules. Célèbre alchimiste, dans le monde entier, cette personne était connu pour ces compétences, à mener de front, son job, d'alchimiste, à venir en aide aux gardiens, pour faire disparaître des corps, mais aussi, pour ces propres combats, contre strigoï. Un grand guerrier, ce que l'on ne trouve que rare, chez nous.C'était la belle partie, de l'histoire. Reconnu par tous, ça ne l'a pas empêché de déraper. Nous connaissons tous nos règles. Aucune relation, tolérée avec un monstre, un créature, n'appartenant pas à la race humaine. Ça ne l'a pas empêché de succomber à ce regard charmeur. Une jeune moroï, plus jeune que lui, dit-on. Offrant le déshonneur, à notre famille. Voilà pourquoi je n'ai pas eu ce choix, recevant ce tatouage, dès mon plus jeune âge. Dès que mon corps fût assez évoluer, pour absorber ce tatouage. Aucune trahison ne serait plus accordé, à cette famille, sous peine d'en condamné tous les autres. J'ai été bercé, avec ces histoires, faisant naître une rage, et une colère noire, envers ces espèces, différentes de la nôtre. Une haine, plus féroce encore, que ce que nous apprenons, au cours de notre formation.

C'est ce qui ma permit, bien vite, de recevoir les honneurs, et d'être déclaré comme véritable alchimiste, alors que ma majorité n'avait même pas pointé son nez. Mais je n'étais pas intéressé, comme tous ces autres alchimistes, à me retrouver sur le terrain, à planquer corps, et dégâts. Ce qui me passionnait, bien au-delà, c'était la chimie des éléments, tous ces tests, à faire, pour améliorer leur potion. Nous n'étions pas beaucoup, à prendre cette voix, mais cela à fais la joie de ma famille. J'ai eu la chance de voir un laboratoire, mettre offert, pour toutes les recherches que je désirais. Et je passais la grande partie de ma vie, ici. Je n'étais pas comme ces autres jeunes, qui appréciaient sortir, faire un peu la fête, déconné. Non, c'était ça, qui me rendait heureux, ces recherches, ces expériences, ces résultats. C'est durant ces quelques années, que j'ai rencontré Lorenzo. Un gardien, je l'ai détesté, lorsque mon regard à croisé le sien. Malgré mon rend de scientifique, il m'arrivait d'être appelé, pour effacer des traces, lorsque la main d’œuvre manquait. Je passais, j'effaçais, je repartais.. Je ne cherchais jamais plus, mais je me suis retrouvé, à plusieurs reprises, face à lui, et au bout de plusieurs rencontres, il s'est mis à percer mes barrières, à essayer de m'atteindre, de comprendre, ces airs aussi distants, à ces côtés. Ce n'était pas qu'avec lui, c'était avec eux tous. Mais il le prenait pour lui. J'aurais bien aimé qu'il ne trouve pas ces mots, pour me convaincre, que tous, n'étaient pas des monstres, mais ce fût bien le cas. Je n'ai plus jamais vu les choses de la même manière après lui. Nous en sommes devenu bon ami, moi à toujours souhaiter en savoir plus, sur eux, maintenant que je m'étais plus ces barrières, entre nous. Lui, à vouloir m'aider.

C'est aussi durant ces années, que j'ai fais ma première grande découverte, qui m'a propulsé vers le haut. Et je la dois à Enzo. J'ignore, pourquoi elle n'a jamais été proposé plus tôt, aussi simple soit-elle. Une idée, qui reprend les fondements même, de notre existence. De notre tatouage. Un tatouage, un Lys, sur notre joue gauche, mêlé de sang moroï, et d'or. Ce sang, injecté pour nous offrir une longévité plus longue, que la moyenne des humains, une santé à toutes épreuves, et aussi, à l'occasion, nous empêcher d'offrir le secret de ce monde, à n'importe quel humain. Le tatouage a été gardé, ainsi que cette touche d'or, au mélange. En revanche, ce sang de moroï à été retiré, et remplacé par de l'argent liquide. L'association, qui une fois regroupé, et mis à même notre peau, rendrait notre sang empoisonné, à tous strigoïs. De quoi sauver bien des vies. Mais de belles paroles n'étaient pas assez, il leurs fallait des preuves. J'ai été cette preuve. C'était normale. L'idée était la mienne, elle devait être testé sur moi. Ce second Lys d'or, a été tatoué au niveau de mon épaule droite, avec une légère modification apportée. L'ajout, du nom de ma sœur. Vous voulez connaître la suite ? Je n'ai jamais eu aussi mal, et été aussi heureux, en même temps. J'ai bien cru, au début, que cela ne fonctionnerait pas, jusqu'à ce qu'il se recule, comme brûlé par ce contact, et crache du sang. J'ai bien cru mourir une seconde fois, quand il s'est relevé, pour s'en prendre à moi, d'une manière plus radicale, mais bien heureux, Enzo était à mes côtés, sous ma demande.

La semaine suivante, j'avais quitté l'Italie, pour rejoindre Missoula, où une nouvelle chance, plus grand encore, s'offrait à moi. On m'a embauché, au centre de rééducation, et j'ai découverts que ce centre, possédait une face cachée, où toutes ces recherches scientifiques, à plus grandes envergures, étaient mené. J'étais là, pour apporter de nouvelle idée, pour faire mieux encore. J'ai passé des nuits blanches, pour ces recherches, des semaines entières, dans ces salles. A entendre des hurlements, provenir de cette partie principale, du bâtiment, où je n'ai jamais été autorisé à mettre les pieds. « Ne t'en mêles pas, et tu n'auras pas à crier à leurs places » Voilà la réponse que l'on m'offrait à chaque question, alors j'ai finis par arrêter les questions, et me concentrer sur les recherches.

Trouveriez-vous drôle, que je me sois laisser avoir, par ce que je me suis toujours refusé ? Malgré toutes les bonnes intentions qu'Enzo, m'avait loué des moroïs, malgré qu'ils n'étaient plus des ennemis pour moi, j'avais toujours cette méfiance envers eux, à cause de ce que mon grand père avait vécu. Le châtiment. Le prix fort, pour être tombé amoureux. Je me suis toujours refusé à cela. Et pourtant, cette femme, cette moroï, à chaque regard échangé, c'était une éruption d'émotion, qui liquéfiait mon cœur. Une magnifique déesse, qui me subjuguait, peu importe mes efforts pour m'en détourner. Cela n'aurait dû rien signifier. Un égard. Un moment de faiblesse, qui aurait été oublié le lendemain. Sauf que cela n'a jamais été oublié le lendemain. Malgré notre discrétion, pour notre sécurité, un mois après, nous étions à Las Vegas, pour un bref séjour. Pour un nuit idyllique, qui signerait notre union. Officiellement, elle n'était pas madame Finch, mais dans mon cœur, c'était tout comme. Une nuit fantastique. Une nuit de rêve, comblée par la découverte d'un bébé, qui poussait dans son ventre. Ce qui n'aurait dû être qu'une brève histoire, une erreur, était devenu la plus belle des histoires.

Jusqu'à ce que le rêve s'écroule. A force de surveillance, j'ai finis par me rendre compte, de ces regards, sur moi. Ils me scrutaient, me surveillaient pour être certain, que je ne les trompais pas. C'est ce qui m'a poussé à réagir, pas pour moi, mais pour elle. Un soir, alors que j'étais seul, encore au laboratoire, j'ai attrapé mes recherches, j'ai tous glissé dans mon sac, et je me suis enfui. Je ne suis jamais revenu. Je l'ai amené avec moi, et une course folle, c'est déclaré, contre les miens. J'étais devenu ce traite, que tous regretter, dans la famille. J'ai fui, des mois, et alors que je redoutais les alchimistes, je n'ai pas pensé à la menace bien plus réelle, des strigoïs. Lorsque je l'ai compris, c'était trop tard. J'étais toujours en vie. Mais pas elle. Je l'ai retrouvé nu, sur notre canapé. J'ai du faire face à cette vision d'horreur. Je me retrouvais seul, avec un bébé sur les bras. Un bébé, qui avait besoin de sa mère, et qui devait déjà apprendre à vivre sans elle. J'ignorais, le coupable de ce meurtre, la seule chose que j'avais c'est ces initiales, et le seul nom, que j'ai trouvé, ou plutôt que l'on a trouvé pour moi, dans la base de donnée alchimiste, pour Strigoï, c'est Bastian Keller.

C'est là que j'ai réagi. Nous ne pouvions plus laisser l'humanité, dans l'ignorance, c'était un secret bien trop gros, bien trop grave pour qu'eux aussi, ne connaissent pas la menace. J'avais eu le temps, de développer une nouvelle idée, une nouvelle solution, avant notre départ. Celle du libre arbitre. Une idée abouti, conçu, mais jamais testé. Encore et toujours la même base, ce tatouage, mais il ne s'agissait pas d'en faire un nouveau, cette fois, mais de modifier le premier. J'avais fais de longue étude, sur la manière de déjouer ces plans. Briser ce tatouage, supprimer alors notre obligation, a rester muet, face au humain. Mais cela supprimait aussi la longévité, et nous permettait de redevenir sensible au maladie. Sans compter que c'était assez visible, et donc, que n'importe quel alchimiste pouvait se rendre compte à travers ce tatouage brisé, de notre rébellion. Alors j'ai contourné le problème. Un mélange d'or, et de sang strigoï, cette fois ci, et à l'aide d'une aiguille, par moi-même, j'ai repassé les traits fins, et délicats du tatouage de ma joue. Je n'ai jamais connu pire douleur, que celle-ci, mais j'étais libre, et personne ne pouvait s'en rendre compte. J'ai a peine eu le temps de me remettre, qu'ils me sont tombés dessus. Et je n'avais pas besoin de poser une nouvelle fois cette question pour savoir que cette fois-ci, j'aurais le droit, de connaître ces cris, de les pousser moi-même.

Je n'ai jamais passé pire années, que celles-là. La situation était toujours la même, j'étais mis à nu, et attaché, d'après eux, pour me défaire de tous l'obscurité que j'avais sur moi, à avoir fréquenter une moroï. Il faisait toujours noirs, mais les tortures, qui venaient derrière, elles, étaient différents, parfois physiques, parfois mentales, me brisant un peu plus à chaque fois. Le chemin a été long, mais ils sont parvenu au bout, ils sont parvenu à me reformater. Toute cette histoire, d'amour, d'amitié, avec ces monstres avaient disparu, il n'y avait plus que la haine, à nouveau en moi. La haine, de détruire ces monstres moi-même.


Fiche de présentation réalisée par (c) Va5l
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Nicola
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