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 Kyara

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Kyara Mcdowell
Kyara Mcdowell
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Age : 33
MessageSujet: Kyara   Kyara I_icon_minitimeJeu 16 Juin - 21:23




Kyara McDowell


feat. Kaya Scodelario

Date de Naissance : 5 février 1991 ~ Lieu de Naissance : Nevada
Âge : 24 ans ~ Statut : Célibataire ~ Groupe désiré : Alchimiste
Elément (pour les Moroï) : /


Caractère, Si vous voulez connaître mon caractère, il faudra vous rapprocher de moi... Encore un peu… Voilà, parfait, maintenant je n’ai plus qu’à vous tuer. Beaucoup tentent de me percer à jour, peu y parviennent. Votre plus grande erreur ? Vous fier à ce visage d’ange, je ne suis pas digne de confiance et je n’hésiterai pas à vous planter un coup de couteau dans le dos dès que l’occasion se présentera.  N’essayez pas de m’amadouer ni de me manipuler, je suis indomptable et dans une bataille, je suis toujours celle qui tire les rennes. Certains disent de moi que je suis cynique, d’autres pensent que je suis une grande joueuse, en réalité je suis les deux. Intrépide, je ne renonce jamais devant un combat, un courage qui m’aura sauvé la vie de nombreuses fois tout comme m’aura mise dans de mauvaises situations. La mort est ma source d’imagination, et je suis assez inventive lorsqu’il s’agit de tuer. Cette apparence froide et fermée, c’est une carapace que j’ai mis bien des années à me forger. Ma plus grande peur ? Que quelqu’un découvre mes moindres secrets, qu’il lise en moi comme dans un livre ouvert et qu’il découvre cette part de sensibilité. Mon passé est ma plus grande faiblesse, la seule chose capable de détruire tout ce que j’ai mis longtemps à forger, et je compte bien faire en sorte que personne ne s’en serve contre moi.
Son physique Ne vous perdez pas dans ce regard bleu profond, il vous trainera jusqu’en Enfer. Mes yeux, mon corps, ma meilleure arme. Ils sont envoûtants n’est-ce pas ? Ces yeux qui prédissent la mort, votre mort. Mais de rares personnes savent y déceler autre chose, des secrets, un lourd passé, de la souffrance. Ne baissez pas les yeux pour échapper à son regard, vous vous perdrez à nouveau, mais sur ses lèvres cette fois. Peu de personnes parviennent à la faire sourire, un vrai sourire du moins, sinon il lui arrive souvent d’esquisser un sourire pour séduire ses cibles. Je ne pense pas que descendre vers son cou soit le meilleur des choix non plus, souvent dégagé pour amadouer, mais jusqu’à présent encore jamais croqué et plus d’un ont pourtant déjà essayé. Messieurs, je ne vous conseil pas de descendre encore plus bas, car à ce niveau-là, vous vous perdrez sans issue possible. Ma famille m’a souvent dit que j’avais une taille adéquate pour faire du mannequinat, grande et fine, certains riraient bien s’ils s’avaient que ce corps m’est plus utile pour la chasse. Ma beauté j’en suis consciente, je la connais, j’en joue, et vous, mes tendres proies pleines de testostérones, vous tombez tous dans le piège.



Son Histoire

Racontez nous sa vie Qui suis-je ?... Savons-nous réellement qui nous sommes ? Nous essayons de nous connaître nous-même, de nous trouver, mais bien trop souvent nous sommes loin de la vérité. Je connais mon nom, ma date de naissance, ma famille, mais est-ce que tous ces détails me définissent vraiment ? Au fond je ne suis pas sûre de savoir qui je suis, mais comme tout le monde je me persuade du contraire.

Mon histoire commence véritablement à l’âge de six ans, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ce qu’était ma vie avant, apparemment nous étions heureux, du moins c’est que me répétait mon frère. Il a beau vouloir me réconforter, mes premiers souvenirs ne sont que le résultat d’un lourd traumatisme. Si Alec n’avait pas gardé de photo, je ne me serais probablement plus souvenu du visage de mes parents. Nous avions tous les deux six ans lorsque nos parents se font assassiner. Le premier réflexe d’Alec a été de m’entrainer avec lui dans un placard et de me cacher les yeux. Ce qu’il ne saura jamais ? J’ai moi aussi assisté à la scène du meurtre par les petits espaces entre ses doigts. Je me souviens des cris. Je me souviens aussi des rires. Je me souviens avoir vu les corps de mes parents tomber, mais par chance, probablement, ils étaient dos à nous. Je crois que je n’aurais pas supporté voir leurs visages morts. Je ne me souviens plus combien de temps nous sommes resté caché dans ce placard. Longtemps. Alec faisait en sorte d’étouffer mes pleures, il me chuchotait constamment de ne pas faire de bruit, que tout allait finir par s’arranger... Mais ça ne s’est jamais arrangé.

Pendant combien d’années sommes-nous passés de famille en famille exactement ? J’ignore pourquoi mais ça ne fonctionnait jamais pour nous, personne ne voulait nous garder, et le fait que nous soyons deux ne nous été pas favorable. L’inévitable c’est donc produit. Vers onze ans Alec et moi avons été séparés. Il a été recueilli par un homme, apparemment membre de notre famille, mais ce soi-disant oncle n’a pas voulu de moi. On m’a donc assigné à une autre famille, seule, et cette séparation fut un nouveau déchirement dans ma vie. J’ai détesté cet homme pour nous avoir fait ça. J’en ai aussi voulu à Alec de ne pas s’y être opposé, mais j’ai fini par comprendre que tout comme moi il ne pouvait rien changer à la situation. Il avait beau me promettre que nous nous retrouverions rapidement, au fond je savais la vérité, nous ne pourrons nous revoir après de longues années, si ce n’est peut-être jamais.

Et si on en venait maintenant à la période de l’adolescence ? Douce période, n’est-ce pas ? Pleine de tumultes, de poussée de croissance, de trahison et d’histoires de cœur. Je compte toujours les jours qui me séparent de mon jumeau. Il me manque, mais je garde l’espoir de le retrouver. J’ai seize ans et j’ai fait une nouvelle fugue, je ne supportai plus cette famille de déjantés, un père polygame, une mère alcoolique et le grand frère n’en parlons pas, le plus grand dealer du coin. Ce nouveau père a même voulu me convaincre d’aller plus loin avec lui, c’est à cet instant que j’ai pris la décision de quitter cette maison de fous. Mais avec un seul sac à bagage et aucune source de revenu, ce n’est pas comme ci je pouvais aller bien loin. Alors j’ai fait ce que j’ai toujours su faire de mieux, user de mon charme pour avoir ce que je voulais. Je créchais de chambres en chambres chez des amis du lycée, car oui, même si nous passions la plupart de notre temps dehors, nous étions tout de même scolarisés. Nous étions un groupe d’amis soudés dans lequel je passais mon temps à créer des problèmes. Je tenais à chacun d’eux, mais je voulais qu’ils souffrent tout autant que moi. J’étais toujours celle qui influençait le groupe et l’on me détestait autant que l’on m’aimait. Nous étions cette bande à part, ces adolescents inaccessibles, ceux qui passent leur temps à sécher les cours et à faire la fête, à boire et à se droguer. Nous étions tombés bien bas, et c’est moi qui les ai entraînés vers le fond car je ne voulais pas tomber seule.

Peu de temps avant mes dix-huit ans, une nouvelle tragédie se produit dans ma vie. Nous campions tous dans la forêt cette nuit-là, ce n’était pas la première fois qu’on venait ici, sauf que ce soir-là nous avons testé de nouvelles drogues. Cette nuit m’apparaît toujours comme un mauvais rêve, mais pourtant c’était bien réel. Nous étions tous complètement déchiré et nous étions les cibles de quelques strigoïs. Je ne me souviens que par flash des cris, du sang, et de mes amis qui tombent un par un. Je me souviens qu’ils avaient voulu me garder pour la fin et qu’ils parlaient entre eux d’une possible transformation. Je me souviens de la douleur dans mon cou, suivit d’un bref moment de trou noir. Lorsque j’ouvre à nouveau les yeux, je suis allongée sur le sol, incapable de bouger. J’entends des bruits, on pourrait croire à un combat. Puis plus rien. Les bruits s’arrêtent, il ne semble plus y avoir personne autour de moi et je finis par perdre conscience. Je me réveille plus tard dans un hôpital. On me dit que tous mes amis sont morts et je ne pensais pas pouvoir être plus dépressive que je ne l’étais déjà. Pourquoi est-ce toujours moi, la survivante des massacres ? J’aurais aimé mourir avec eux, avec mes parents, avec mes amis, au moins la souffrance ce serait arrêtée.

A mes dix-huit ans je ne suis plus accepté dans les foyers, mais je préfère de loin la rue à tous ces inconnus. C’est à partir de cet instant que j’ai commencé mes recherches. J’ai compris. Nous ne sommes pas seuls dans ce monde, les humains sont envahis par des espèces dont nous ne connaissons pas même l’existence. J’ai fait le rapprochement, les canines, la mort de mes parents, celle de mes amis et mes propres blessures. J’ai eu du mal à croire en l’existence d’une espèce surnaturelle, mais les faits étaient là et aujourd’hui cela m’apparaît comme une évidence. Quelques semaines plus tard, un groupe d’humains m’a repéré dans une boite. La première chose qui m’a intrigué ? Ils avaient le même tatouage que moi. Je savais que quelque chose d’inexplicable nous liait, c’est probablement pour cette raison que je les ai suivi. De toute façon je n’avais nulle part ailleurs où aller.

Très vite ils m’expliquent tout. Ces monstres qui ont assassinés mes proches sont nommés les strigoïs. Ce tatouage est un signe qui appartient au groupe des alchimistes et qui permet de nous différencier des simples humains. Il y a aussi l’existence des dhampirs et moroïs, ils pensent d’ailleurs que ce sont grâce aux dhampirs que j’ai échappé aux crocs des strigoïs dans cette forêt. Ils m’ont tout enseigné de ce nouveau monde, de mon propre rôle à jouer, et j’ai décidé de tracer mon destin à ma manière. Cette vie, c’est l’occasion d’obtenir vengeance, d’essayer de tirer un trait sur mon passé et d’être quelqu’un d’autre. On m’apprend le métier d’alchimiste, on me fournit un logement, de l’argent et ma vie semble aller mieux durant un temps. Je fais ce qu’on me demande de faire sans poser de questions. Sans poser de questions ? Non, ce n’est vraiment pas mon genre. Même si l’on ne veut pas trop m’en dire, je fais en sorte de creuser et d’en découvrir toujours plus sur ce monde.

Au fil du temps je ne comprends pas pourquoi les alchimistes veulent rester autant à l’écart. Ils se contentent de faire disparaitre les cadavres et de vivre leur vie d’humain. Ce n’est pas ce que je veux faire. Ce n’est pas ce qu’il me faut. Briser ce tatouage, apparemment c’est la solution à mon problème. Alors je le fais. Je décide de modifier mon tatouage, transformant la partie des pétales pour en faire un pique, mais bien plus beau que ceux que l’on voit dans les paquets de cartes. C’est ainsi que je retrouve ma liberté, mon libre-arbitre, et que je décide de me battre sans qu’on ne puisse plus me dicter les règles. Je quitte une fois de plus mon foyer pour partir à l’aventure, mon seul but étant de devenir plus forte. J’ai appris plusieurs sortes d’arts martiaux. J’ai appris à utiliser les armes. J’ai appris à devenir une véritable arme de guerre. Croyez-moi en six ans on peut se transformer en une toute autre personne.


Aujourd'hui, Le surnaturel, mon ennemi, mon cauchemar. J’aurais pu choisir de me limiter uniquement à la chasse aux strigoïs, mais ils étaient tous des montres à mes yeux et bons comme mauvais, je les voulais tous morts. Il n’y a pas de place pour tous dans ce monde, et je compte bien faire en sorte que l’humanité survive à tous ces montres.
J’ai récemment retrouvé Alec, j’ai longtemps cru que c’était un rêve éveillé, mais il était bel et bien là, de nouveau avec moi. C’était beau et difficile à la fois, nous étions heureux de nous retrouver mais en même temps nous étions comme des inconnus l’un pour l’autre. Je ne lui ai toujours pas raconté tout ce que j’ai vécu en son absence, je n’ai jamais été prête pour en parler et il a eu la bonté de me laisser du temps. Aujourd’hui nous passons le plus clair de notre temps ensemble, traquant, chassant et tuant à deux. Nous sommes devenus des parias de notre groupe, les ennemis de toutes les espèces, mais nous nous suffisons à deux. Rien ni personne ne brisera plus la famille McDoweel, du moins nous nous en assurerons.
Aujourd’hui notre nouvelle destination est la ville de Missoula. Je n’avais pas envie de mettre les pieds ici, ou plutôt devrais-je dire, y remettre les pieds, mais je ne me voyais pas dire à Alec que j’avais déjà vécu de trop nombreuses choses dans cette ville, alors j’ai accepté de le suivre.
Il paraît que nous pouvons décider d’être quelqu’un d’autre, qu’il suffit de le vouloir pour le pouvoir. Mais le passé ne revient-il pas toujours au galop ? C’est bien ce que nous verrons.



Qui se cache derrière ?
Un nouveau pokémon
Prénom/Pseudo : Pikachu
Age : 200 ans !
Comment es-tu arrivé ici ? C'est un nouveau compte
Un avis sur le forum ? Les membres craignent et le staff n'en parlons pas, c'est bien pour ça que je reste.
Tes petits hobbies ? Vous traumatiser
Avatar : Kaya Scodelario





Codage par Slana
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